Le Liban face à un vide institutionnel
Alors que la communauté internationale, France, Etats-Unis et Arabie Saoudite en tête, est impatiente de voir l’élection d’un nouveau président de la république, les Libanais donnent l’impression d’avoir beaucoup de temps devant eux.
Alors que le Liban s’enfonce jour après jour dans une crise économique aiguë, la nomination du successeur du président Michel Aoun, dont le mandat prend fin le 31 octobre, est encore une réalité lointaine. À la Chambre, où le quorum est difficilement atteint, les tentatives de compromis semblent s’apparenter à l’immobilisme et au maintien du statu quo. Lors de la dernière présidentielle, le pays du cèdre était resté sans son président chrétien pendant 29 mois.
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