Que faire de la modernité ? C’est la question que se pose le judaïsme européen à l’heure des Lumières
Au XVIIIe siècle, l’émancipation des Juifs, l’obtention de la citoyenneté et la pleine égalité de leurs droits avec leurs concitoyens, qu’il s’agit de "réformer », « d’améliorer » ou encore de « régénérer », est d’abord l’affaire des Gentils (les non-Juifs). La France sera d’ailleurs la première à attribuer la pleine égalité de droits aux Juifs par le vote de l’Assemblée constituante en 1791. Mais c’est tout de même aux Juifs qu’il revient de définir les modalités de leur insertion dans cette société dont les fondements juridiques et philosophiques changent rapidement. Ce sera le judaïsme ashkénaze novateur qui s’en chargera.
Au XVIIIe siècle, l’émancipation des Juifs, l’obtention de la citoyenneté et la pleine égalité de leurs droits avec leurs concitoyens, qu’il s’agit de "réformer », « d’améliorer » ou encore de « régénérer », est d’abord l’affaire des Gentils (les non-Juifs). La France sera d’ailleurs la première à attribuer la (...)
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